1. Mainstream science on intelligence

2. Prises de position de prix Nobel

3. Les études sur la question

4. Les enquetes d’opinions des experts de l’intelligence

5. Conclusions de D. Reich prof. de génétique à Harvard (2018)


1. Mainstream Science on Intelligence

Mainstream Science on Intelligence is a treatise that presents findings widely accepted in the community of intelligence specialists. The publication was first published in the Wall Street Journal on December 13, 1994 in response to the media’s often misleading or even aggressive treatment of the current state of intelligence research. This post follows the controversy sparked by the publication of The bell curve. It was written by Doctor of Psychology Linda Gottfredson and is signed by Gottfredson and 51 other university professors specializing in intelligence research, (along with all the big names in intelligence research (Cattell, Carroll, Jensen , etc.))

The following professors – all experts in intelligence and allied fields – have signed this statement:

  • Richard D. Arvey, University of Minnesota
  • Thomas J. Bouchard, Jr., University of Minnesota
  • John B. Carroll, Un. Of North Carolina at Chapel Hill
  • Raymond B. Cattell, University of Hawaii
  • David B. Cohen, University of Texas at Austin
  • Rene V. Dawis, University of Minnesota
  • Douglas K. Detterman, Case Western Reserve Un.
  • Marvin Dunnette, University of Minnesota
  • Hans Eysenck, University of London
  • Jack Feldman, Georgia Institute of Technology
  • Edwin A. Fleishman, George Mason University
  • Grover C. Gilmore, Case Western Reserve University
  • Robert A. Gordon, Johns Hopkins University
  • Linda S. Gottfredson, University of Delaware
  • Robert L. Greene, Case Western Reserve University
  • Richard J. Haier, University of Callifornia at Irvine
  • Garrett Hardin, University of California at Berkeley
  • Robert Hogan, University of Tulsa
  • Joseph M. Horn, University of Texas at Austin
  • Lloyd G. Humphreys, University of Illinois at Urbana-Champaign
  • John E. Hunter, Michigan State University
  • Seymour W. Itzkoff, Smith College
  • Douglas N. Jackson, Un. Of Western Ontario
  • James J. Jenkins, University of South Florida
  • Arthur R. Jensen, University of California at Berkeley
  • Alan S. Kaufman, University of Alabama
  • Nadeen L. Kaufman, California School of Professional Psychology at San Diego
  • Timothy Z. Keith, Alfred University
  • Nadine Lambert, University of California at Berkeley
  • John C. Loehlin, University of Texas at Austin
  • David Lubinski, Iowa State University
  • David T. Lykken, University of Minnesota
  • Richard Lynn, University of Ulster at Coleraine
  • Paul E. Meehl, University of Minnesota
  • R. Travis Osborne, University of Georgia
  • Robert Perloff, University of Pittsburgh
  • Robert Plomin, Institute of Psychiatry, London
  • Cecil R. Reynolds, Texas A&M University
  • David C. Rowe, University of Arizona
  • J. Philippe Rushton, Un. Of Western Ontario
  • Vincent Sarich, University of California at Berkeley
  • Sandra Scarr, University of Virginia
  • Frank L. Schmidt, University of Iowa
  • Lyle F. Schoenfeldt, Texas A&M University
  • James C. Sharf, George Washington University
  • Herman Spitz, former director ER Johnstone Training and Research Center, Bordentown, NJ
  • Julian C. Stanley, Johns Hopkins University
  • Del Thiessen, University of Texas at Austin
  • Lee A. Thompson, Case Western Reserve University
  • Robert M. Thorndike, Western Washington Un.
  • Philip Anthony Vernon, Un. Of Western Ontario
  • Lee Willerman, University of Texas at Austin

 Mainstream Science on Intelligence définit l’intelligence comme une capacité mentale à analyser, comprendre et utiliser son environnement immédiat.
Les test d’intelligence, bien que ne mesurant pas la créativité, ni la personnalité ou d’autres différences pyschologiques qui contribuent aux différences entre individus, est néanmoins un moyen fiable et valide pour mesurer l’intelligence et, bien qu’il existe une grande variété de tests d’intelligence, tous ces tests mesurent la même intelligence. Elle explique que la distribution relative du QI à travers la population générale peut être représentée en utilisant une gaussienne.

La majorité des caucasiens se regroupent aux alentours de 100 de QI. Un score de 70 ou moins indique un retard mental, alors qu’un score supérieur à 130 indique une intelligence élevée. Le QI mesure une caractéristique humaine d’une grande importance pratique et sociale qui est constamment corrélée avec le niveau d’étude, la profession, et la réussite sociale et économique. Posséder un meilleur QI augmente grandement les chances de succès personnel dans la société. Accréditation scientifique

Les tests d’intelligence ne sont pas culturellement biaisés contre les individus issus d’une minorité raciale ou ethnique, mais il y a des différences observables dans la distribution relative du QI selon les groupes. Le QI moyen des caucasiens est de 100, les Juifs ashkénazes et les Asiatiques américains ayant un score plus élevé, et les Hispaniques et Noirs ayant un score plus faible, 85 pour ce qui est de la moyenne afro-américaine.

Concernant les différences entre les races, les facteurs génétiques jouent un rôle plus important que les facteurs environnementaux.

Les conclusions de nos recherches ne dictent aucune politique sociale particulière car on ne peut pas déterminer nos buts. Néanmoins nos conclusions peuvent aider à prédir les probabilités de succès et les effets collatéraux dans la poursuite de ces buts via différents moyens. »

To read the entire treaty:

2. Prises de position de prix Nobel 

Un nombre considérable deprix Nobel contemporains se sont exprimés sur ces questions.

James Watson, lauréat du prix Nobel pour la découverte de la structure hélicoïdale de l’ADN

«Il n’y a aucune raison de s’attendre à ce que les capacités intellectuelles des peuples géographiquement séparés dans leur évolution aient évolué de manière identique. Notre volonté de distribuer des pouvoirs intellectuels égaux, comme une sorte de dotation universelle, cela ne suffira pas à y parvenir »

“Je suis pessimiste sur l’avenir de l’Afrique, car toute notre aide au développement est basée sur l’hypothèse que les Africains ont la même intelligence que la nôtre, alors qu’il est clairement démontré que ce n’est pas le cas”

William Shokley, prix Nobel de physique pour le développement du transistor, l’homme qui a fait le passage à l’ère électronique 

«Les Afro-Américains ont une intelligence inextricablement inférieure, de l’ordre de 15% (par rapport aux Européens). J’ai étudié ces questions pendant des années. Je considère que ma collaboration dans la familiarisation avec ses données fondamentales est plus importante que ma contribution en physique »

Peter Medawar, Prix Nobel de médecine 

“La notion de race a été systématiquement dépréciée pour des raisons politiques ou humanitaires et il est grand temps que les scientifiques écrivent à nouveau librement sur la question”.

+ Francis Crick, Lederberg, Huxley, Richet, Lorenz …

(puis évidemment Darwin, Galton, Aristote, Platon, Voltaire, Kant, Broca, Montesquieu …)

3. Les études sur la question

Peut-être êtes-vous surpris par toutes ces informations, car elles ne circulent pas beaucoup dans les médias (pas du tout même). Cependant, si vous vous rendez au NCBI qui est la principale base de données scientifique américaine, ou plus simplement google scholar et que vous recherchez des études scientifiques relatives aux différences raciales d’intelligence ou simplement au QI ou à l’intelligence humaine, vous serez surpris de vous rendre compte que presque tous des études soutiennent clairement ce qui est ici et même le tiennent pour acquis, car il est vrai que ces informations sont, depuis un certain temps maintenant et même un temps certain , validées.

Stephen Pinker, professeur de psychologie à Harvard, dénonçait il y a peu la censure de ces informations. “Des individus très éduqués peuvent avoir un sévère contrecoup lorsqu’ils s’aperçoivent qu’on leur a menti des années, durant tout leur cursus éventuellement, sur les différences raciales”.


4. Les enquetes d’opinion des experts de l’intelligence 

Les enquêtes d’opinions montrent que plus de 90% des experts de l’intelligence (individus ayant publié à plusieurs reprises sur le sujet dans des revues à comité de lecture) considèrent que “les gènes sont au moins partiellement responsables des variations d’intelligence entre les populations”. Ce chiffre atteint 93% dans la dernière enquête de Rindermann (2020) “Survey of expert opinion on intelligence: Intelligence research, experts’ background, controversial issues, and the media”.

5. Conclusion de D. Reich, professeur de génétique à Harvard (2018)

Dans un article du New York Times de mars 2018 qui a fait sensation, David Reich, professeur de génétique à Harvard, explique …

« On peut s’inquiéter de la possible utilisation abusive des données pour justifier le racisme, mais en tant que généticien, je sais aussi qu’il n’est tout simplement plus possible d’ignorer les différences génétiques moyennes entre les races.

Des progrès révolutionnaires dans la technologie de séquençage de l’ADN ont été réalisés au cours des deux dernières décennies. Ces avancées nous permettent de mesurer avec une précision parfaite quelle fraction de l’ascendance génétique d’un individu remonte, par exemple, à l’Afrique de l’Ouest. Avec l’aide de ces outils, nous apprenons que si la race peut être une construction sociale, les différences d’ascendance génétique qui sont en corrélation avec de nombreuses constructions raciales actuelles sont très réelles.

Les personnes bien intentionnées qui nient la possibilité de différences biologiques substantielles entre les populations humaines se retrouvent dans une position indéfendable, qui ne survivra pas aux assauts de la science.

Alors que la plupart des gens conviennent qu’il est important de trouver des explications génétiques pour certaines maladies, ils rechignent quand il s’agit d’influences génétiques sur le comportement et la cognition.

Le QI, l’intelligence ou le nombre d’années d’études sont-ils influencés par l’éducation? Bien sûr. Mais mesure-t-il également les caractéristiques cognitives et comportementales? Presque certainement. Et comme tous les traits influencés par la génétique diffèrent d’une population à l’autre (les fréquences de variation génétique étant rarement les mêmes d’une population à l’autre), les influences génétiques sur le comportement et la cognition varieront également. d’une population à une autre.

Vous entendrez parfois que les différences biologiques entre les populations sont faibles, parce que les humains ont divergé trop récemment des ancêtres communs pour que des différences substantielles soient apparues sous la pression de la sélection naturelle. Ce n’est pas vrai. Les ancêtres des Asiatiques de l’Est, des Européens, des Africains et des Australiens étaient, jusqu’à récemment, presque complètement isolés les uns des autres pendant 40 000 ans ou plus, ce qui est plus que suffisant pour que les forces de l’évolution puissent fonctionner.

Dans les années à venir, des études génétiques montreront que de nombreux traits sont influencés par des variations génétiques, et que ces traits diffèrent en moyenne entre les populations humaines. Il sera impossible – en fait, anti-scientifique, ridicule et absurde – de nier ces différences »

David Reich, Harvard University, mars 2018

Pour aller plus loin… mon article sur les censures et violences contre les chercheurs du monde de l’intelligence (Breizh-Info, 2021).