Censure et violence contre les experts de l’intelligence…

Comme on peut s’en douter pour un sujet si sensible, la recherche sur l’intelligence est émaillée de nombreuses attaques d’individus voyant ces informations comme menaçantes pour leur idéologie égalitaire. Un grand nombre de journalistes, sans trop s’y connaitre, prennent également parti contre les chercheurs qui travaillent sur ces questions. La diabolisation est systématique, généralement associée de diffamations, pressions sociales ou financières voire d’agressions physiques. La censure est directe ou prend la forme d’une auto-censure rendue obligatoire par les pressions sociales, médiatiques ou légales.

1. Censure sur Wikipédia: suppression d’articles entiers

2. Rational-wiki

3. Censure d’études dérangeantes

4. Attaques personnelles, verbales ou physiques

5. Fraudes scientifiques pour contrecarrer les réalités inégalitaires dérangeantes

6. Les médias qui prennent parti, dépeignant souvent une fausse réalité

7. Pression sociale et licenciement.

8. Le système pénal de nombreux pays européens

9. Les expertes de l’intelligence et les gens informés… qui savent mais se protègent de 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8.


1. Censure sur Wikipédia: suppression d’articles entiers

De nombreux articles de Wikipédia se voient supprimer suite à des demandes répétées de groupes de pression. Deux exemple récents et très éloquents permettent de mieux comprendre:  (1) la suppression de l’article “Ashkenazy Jewish Intelligence” qui était en ligne depuis des années. La présence d’un groupe à haut QI (Ashkénazes) sur-performant dans tous les domaines intellectuels, chiffres à l’appui, allait évidemment à l’encontre de l’égalitarisme racial. C’est la raison pour laquelle l’article, pourtant abondamment sourcé par de nombreux journaux scientifiques internationaux, a été tout simplement supprimé. Les éléments démontrant la causalité hautement génétique de l’intelligence ashkénaze (haute fréquence de myopie et tout récemment le plus haut score GWAS d’intelligence…) étaient probablement le plus problématique car il n’était plus possible pour les égalitaristes d’affirmer que ces différences d’intelligence étaient entièrement environnementales. Par ailleurs si certains groupes plus intelligents sur-performent, il est logique de penser que des groupes moins intelligents vont, spontanément, moins bien performer. Ces informations entrant en collision frontale avec l’idéologie antiraciste ont tout simplement été supprimées de Wikipédia.

(2) Un second article qui a subit des pressions considérables est “Human Genetic Clustering” qui a d’ailleurs récemment été renommé ‘Human genetic diversity” (pour éviter le terme clustering!). L’analyse génétique permet en effet facilement de faire émerger des grands clusters de population, ce qu’on appelle communément “race” dans le règne animal. Le problème est justement là: la possibilité de clusteriser, de diviser en groupes génétiques distincts l’espèce homo sapiens est insupportable pour de nombreux idéologues antiraciste.  L’article “Human Races” de Wikipédia est hautement surveillé et il y est affirmé que la subdivision raciale est une “tentative hasardeuse”. Bien sûr en se penchant ensuite sur l’article “Human genetic clustering” n’importe qui pouvait se rendre compte que cela n’avait rien d’hasardeux (une race est simplement un cluster génétique!).

2. Rational-wiki

Un autre angle d’attaque de la psychologie différentielle a été, pour les égalitaristes insatisfaits de Wikipédia, (qui pourtant est complaisant comme on l’a vu ci-dessus) de créer une variante d’encyclopédie en ligne idéologiquement beaucoup plus à gauche, c’est ainsi qu’est né “Rational-Wiki”. Contrairement à son nom, rational wiki est hautement idéologique. Les meilleurs chercheurs du monde sont dépeints comme des “néo-nazis pédophiles”. Le grand Robert Plomin de l’University College London est décrit comme un “pseudo-scientifique”, de même qu’Hans Eysenck, Lynn, Linda Gottfredson et tous les grands noms de la recherche en intelligence ou génétique comportementale. La stratégie “rational wiki” est relativement efficace car un quidam qui se promène sur internet et désire se renseigner par exemple sur Robert Plomin va entrer son nom dans google et l’article rational-wiki, bien positionné dans les moteurs de recherche, peut facilement être confondu avec Wikipédia.

Les chercheurs commencent à prendre conscience du problème “A concerning development is the presence of a number of hamartographic pseudo-biographies (attack pages) hosted on a website called Rationalwiki.org, which by virtue of conflation with Wikipedia.org and undue prominence in search results, have the potential to inflict serious reputational harm upon intelligence researchers”6

3. Censure d’études dérangeantes

Des études problématiques sont parfois tout simplement censurées. Ca a été le cas de plusieurs études de Rushton récemment7 (des études datant pourtant de 2012). Richard Lynn explique également comment le journal de Mensa International lui a finalement refuser une page de présentation sur son ouvrage “Race Differences in Intelligence, an Evolutionary Analyse”5   (Richard Lynn qui a pourtant gagné 3 années les US mensa awards pour son travail sur l’intelligence ! Il ne s’agissait pas d’une désapprobation de son travail par Mensa mais plutôt d’une auto-censure pour éviter les réactions négatives).

4. Attaques personnelles, verbales ou physiques

Quand on veut battre un chien, on trouve toujours un bâton. La méthode la plus simple pour invalider des études problématiques reste de s’en prendre à leurs auteurs pour décrédibiliser le message. C’est ce que fait rational-wiki tout comme un grand nombre de personnes qui ne supportent pas ces réalités différentielles. Le journal “Mankind Quarterly” qui publie de nombreuses études sur les différences raciales est ainsi l’objet d’attaques particulièrement virulentes, mais les journaux Intelligence ou Personality and Individual Differences ont également été attaqués.

Noah Carl et Michael Woodley ont fait une compilation6 des attaques subies par les chercheurs en intelligence. Comme on peut le voir Arthur Jensen, le prix Nobel William Shokley et Hans Eysenck ont été les plus fréquemment visés.

 

, QI et Intelligence Humaine

Dénonciation, suspension, pétitions, protestations, menaces, attaques physiques et verbales… l’étude de l’intelligence et des différences raciales suscitent chez certains une grande animosité.

, QI et Intelligence Humaine


5. Fraudes scientifiques pour contrecarrer les réalités inégalitaires dérangeantes

Nyborg décrit de façon exhaustive les fraudes massives disséminées parfois jusque dans de grands journaux pour tenter d’invalider les réalités différentielles dérangeantes. Une excellente publication à lire pour comprendre la corruption idéologique qui règne aujourd’hui en anthropologie et dans plusieurs autres disciplines.

The Greatest Collective Scientific Fraud of the 20th Century: The Demolition of Differential Psychology and Eugenics” 2011.

“The first draws inspiration from the academic left (AL), whose members believe that evolution can work without genetically based individual differences, and from religious people, who are burdened by an internally consistent ideological edifice and are guided primarily by moral indignation. Its growing aversion can be understood in terms of the first inverse principle of DP (differential psychology) and E (eugenism) demolition:

The more feeling moralists and the religiously disposed become offended, the first by evidence of individual genetic restrictions, the second by evolutionary principles, the more they will actively oppose DP and E research.

The second group of critics is a highly mixed group of professional, semi-professional, interested laypeople, feminists, and political ideologues, all united by the idea of equality – the belief that people are in principle genetically and/or phenotypically equal. Their problem is not so much moral or religious indignation, but rather the stubborn phenotypic existence of inequality in society of educational and occupational outcomes. They wish to eliminate current individual differences in educational and occupational areas, as they see them as a result of unfair discrimination.

They find the currently increasing economical, political or global inequality unacceptable, and want to bring it under societal and political control in order to eliminate it. They have no particular problem with the production of solid DP documentation for large individual and group differences, as they take it as a useful reminder of much needed, radical, and long-overdue societal changes and feel completely justified in demanding equal access and outcome for all in all areas of society. They even systematize some of the archival evidence on the differences, themselves. They
warmly support international harmonization and globalization programs, and recruit AL (academic liberal) sympathizers who believe in an ideal society where the right culture makes the right citizen, such as in the former Soviet Union. They actively support future social scientists who are not prepared to accept an unequal world “as is” and who seek quick fixes for changing the world to a much better “should be” place. They wholeheartedly support equality programs in progressive universities and trade unions, and demand politically predefined racial- and sexual quota systems. Many of the academics and publicists in this group make their careers by telling well-intentioned, honest, but poorly informed people what they want to hear. It is food for thought that early eugenicists promoted equality of opportunity (e.g. Crew, Darlington, Haldane, et al. (1939), but that their method to achieve equality of outcomes, namely a reduction in the prevalence of harmful genes, is completely beyond the planning horizon of today’s opportunistic social engineers.

The aversion of this group of critics can be characterized by the second inverse principle of DP and E demolition:

The more the pragmatic-opportunistic critics produce or become exposed to evidence of genetic and evolutionary restrictions on educational, occupational, sexual, racial and global equality, the more they will attack notions of restriction, typically in form of ad hominem attacks rarely used by supporters of genetic causes for individualdifferences.

The widely scattered literature finally indicated that “feeling moralists”, “the religiously disposed” and “pragmatic opportunists” are equally prepared to use scientifically unacceptable tools to up-scale their deliberate destruction of DP and E. This observation led to an overall characterization of the phenotypic nature of the demolition: The demise of DP and E is the end product of a slowly progressing multi-faceted, comprehensive, collective, morally or opportunistically based scientific educational, religious and political fraud. The intensity of the demolition appears to increase exponentially to the extent scientific evidence favoring biological restrictions builds up. The scientific findings cause defensiveness and aggressiveness in the protagonists of unscientific ideologies in the same way that criticism causes defensiveness and aggressiveness in an incompetent employee or politician.

This is a brief description of the greatest scientific collective fraud of the 20th century. Others have called attention to the problem at regular intervals (e.g. Garrett, 1961; Eysenck, 1971; Rushton, 1995; Gottfredson, 1994, 2000; Nyborg, 2003), but without much of an effect. It may seem grossly unfair to some in times where so many “good” scientists strive so hard to remedy the consequences of unfair individual and group difference, so I will use some space to justify the accusation in the following sections. First I briefly describe a variety of the unworthy attacks made by moralist and pragmatic opportunists, and then sketch some types of scientifically unacceptable tools and tricks they use (for details, see Jensen, 1972; Nyborg, 2003).


6. Les médias qui prennent parti, dépeignant souvent une fausse réalité

Les études montrent que 90 à 95% des journalistes sont de gauche. Beaucoup placent l’égalité comme prioritaire sur la véracité scientifique et de toute façon ils ne connaissent en général pas la littérature scientifique spécialisée. Hans Eysenck déjà il y a 50 ans (!) dénonçait des médias “qui créent des polémiques artificielles, qui prétendent que la question est débattue alors qu’elle est résolue…”. Les études d’opinion des experts de l’intelligence (individus ayant publié à plusieurs reprises sur le sujet dans des journaux scientifiques à comité de lecture) montrent qu’une “large majorité considère que le traitement médiatique et le débat public sur ces questions sont très inadéquats” et ils sont également majoritaires à être “très sceptiques sur la fiabilité des médias sur ces sujets et sur le fait qu’ils ne soient dignes de confiance ” (medias not trustworthy).


7. Pression sociale et licenciement

Des groupes d’étudiants qui font pression pour demander le licenciement d’un professeur, des pétitions pour interdire la publication d’une étude (relayées par les médias !), des pressions pour exclure des étudiants qui traiteraient de ces sujets de façon “incorrect”… ce sont autant de difficultés qu’ont connu de nombreux chercheurs dans le domaine de l’intelligence.

8. Le système pénale de nombreux pays européens

Des lois répriment aujourd’hui l’expression des propos “racistes”. Les études sur les différences raciales tombent éventuellement sous ce qualificatif puisque, par définition, elles se penchent sur les différences entre les races. Un citoyen qui désirerait mettre en garde contre l’immigration à bas QI d’Afrique, études à l’appui, se verrait ainsi possiblement condamné. Aux USA le 1er amendement protège encore la liberté d’expression… mais des firmes privées n’hésitent pas à sanctionner les individus qui n’expriment pas une opinion convenue. Google a par exemple licencié un de ses dirigeants qui avait énoncé que “la sous-représentation des femmes dans les STEM était en partie due à des différences innées”. Le prix Nobel James Watson a été persécuté (en large part par les médias) pour ses propos sur les différences de QI entre les Africains et les Européens. Le prix Nobel William Shokley également.

9. Les experts de l’intelligence et les gens informés… qui savent mais se protègent de 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8.

Lorsqu’on se penche sur la littérature spécialisée, soigneusement capitonnée pour éviter qu’elle ne fasse d’écho, on s’aperçoit avec éventuellement une immense surprise des données disponibles, des arguments taillés dans le roc, des manipulations d’informations…

Stephen Pinker, professeur de psychologie à Harvard, dénonçait il y a peu la censure de ces informations. “Des individus très éduqués peuvent avoir un sévère contrecoup lorsqu’ils s’aperçoivent qu’on leur a menti des années, durant tout leur cursus éventuellement, sur les différences raciales”.

Les enquêtes d’opinions montrent que plus de 90% des experts de l’intelligence (individus ayant publié à plusieurs reprises sur le sujet dans des revues à comité de lecture) considèrent que “les gènes sont au moins partiellement responsables des variations d’intelligence entre les populations”.

Références

1. “Taboo genetics” Nature, 2013. “Survey of expert opinion on intelligence: Intelligence research, experts’ background, controversial issues, and the media” Intelligence, 2020.
2. “Should Research on Race and IQ Be Banned?” Scientific American, 2013
3. “Dodging Darwin: Race, evolution, and the hereditarian hypothesis” Personality and individual differences, 2020
4. “James Watson’s most inconvenient truth: Race realism and the moralistic fallacy” 2008
5. “Reflections on Sixty-Eight Years of Research on Race and Intelligence“2019
6. “A scientometric analysis of controversies in the field of intelligence research” Intelligence, 2019
7. RETRACTED: Do pigmentation and the melanocortin system modulate aggression and sexuality in humans as they do in other animals?
8. “The Greatest Collective Scientific Fraud of the 20th Century: The Demolition of Differential Psychology and Eugenics” 2011.

Les Européens et les Est-Asiatiques ont une plus haute fréquence de gènes augmentant l’efficacité cérébrale

La dernière étude de Davide Piffer confirme que la fréquence raciale des allèles augmentant l’intelligence suit le QI moyen des populations… en d’autres termes les races ou populations à plus haut QI moyen (Européens, Est-asiatiques, Ashkénazes) ont une plus haute fréquence d’allèles augmentant l’intelligence dans leur patrimoine génétique que les populations afro-maghrébines. Ces résultats sont parmi les plus importants de ces dernières années. Il est pour ainsi dire désormais impossible de nier la composante génétique des différences raciales d’intelligence générale.

“The results were replicated in a new dataset (gnomAD), comprising a much larger sample of individuals, where the correlation between population IQ and PGS was 0.98 (Table 5 and Figure 9). This dataset included a sample of 145 Ashkenazi Jewish individuals. The IQ of Ashkenazi Jews has been estimated to be around 110 [34]. Remarkably, their EDU polygenic score was the highest in our sample, corresponding to a predicted score of about 108, mirroring preliminary results from a smaller (N = 53) sample (Dunkel et al., 2019)”

Ces gènes sont impliqués principalement (Nature, 2019) dans

-Neurogenèse : génération de neurones à partir de cellules souches neuronales
-Gènes exprimés dans la synapse (rôle dans la plasticité synaptique)
-Gènes impliqués dans le développement du système nerveux
-Gènes impliqués dans la projection et la différentiation neuronale
-Gènes impliqués dans la différentiation des oligodendrocytes (myélinisation du système nerveux central)

Les grands tabous de la génétique: race, intelligence et violence.

Très intéressant article de Nature, 2013, pointant les “3 sujets les plus tabous actuellement en génétique: la race, l’intelligence et la violence”

Article de Nature, 2013, Taboo.

“As far as genetic taboos go, race is probably one of the most heavily policed from within the scientific community, largely because of the way researchers have examined its intersection with other controversial traits, such as intelligence”

“some researchers have asked whether the taboo on the genetics of race has become so severe that it bars legitimate research. In 2005, for instance, geneticist Bruce Lahn of the University of Chicago in Illinois published studies3,4 suggesting that variants of two brain-development genes possibly linked to intelligence are evolving differently in white Europeans and African ethnic groups”

L’immigration a fait perdre 4 points de Q.I à la France.

Lynn et Dutton (2015) ont publié une étude qui a fait beaucoup de bruit et a été reprise par de nombreux journaux, notamment Le Monde ou Le Point, montrant un déclin de 4 points de Q.I en France entre 1999 et 2009. Lynn et Dutton évoquent l’immigration afro-maghrébine, génétiquement moins intelligente que les européens natifs, comme une des causes principales de cette diminution intellectuelle.

Michael A. Woodley, de l’université de Chemnitz en Allemagne et Curtis S. Dunkel, de l’université de l’Illinois, confirment dans une nouvelle étude que le déclin intellectuel est bien d’origine biologique et vraisemblablement provoqué par l’immigration de populations génétiquement moins intelligente.

In France, are secular IQ losses biologically caused ? A comment on Dutton and Lynn (2015). Intelligence, (53), 81-85.

Il est à noter qu’une réduction de 4 points de Q.I. à l’échelle d’un pays est important. Cela a très clairement un impact social et économique (réduction du PIB par habitant, augmentation du taux de chômage, réduction de l’innovation).

Les maghrébins ont un Q.I moyen de 88 et une capacité cranienne moyenne de 1293 cc (contre 1369 cc et 100 de Q.I moyen pour un européen).

Il se développe effectivement en France (et dans d’autres pays d’Europe de l’ouest) des enclaves maghrébines où l’intelligence moyenne est nettement plus basse que dans le reste du pays. Ces enclaves sont caractérisées par l’ensemble des caractéristiques sociales d’une société à bas Q.I: faible niveau d’éducation, faible niveau socio-économique, haut taux de chômage, haute fréquence d’arriération mentale, haute religiosité, intégrisme, haut niveau de crimes et délits, plus haute fréquence de délinquance juvénile, haute natalité, faible niveau d’innovation, faible prévalence de personnes douées…

Malheureusement le mouvement égalitariste est très puissant en France, un peu comme le mouvement créationniste en Amérique. Beaucoup d’universités n’enseignent plus le darwinisme, l’évolution et l’apparition des différences raciales, par ignorance, idéologie ou parfois par peur des réactions violentes de la part des égalitaristes.


Tableau extrait de “Le quotient intellectuel, ses déterminants et son avenir”, 2009, sous la direction de Serge Larivée, université de Montréal.

Laurent Alexandre “Le tabou du Q.I est suicidaire”

Laurent Alexandre est chirurgien-urologue, fondateur du célèbre site Doctissimo et chroniqueur régulier au Monde et au Huffington Post.

Dans l’article qu’il publie dans l’express ce 02 avril 2017, il explique que le tabou du Q.I est suicidaire.

“Parler du quotient intellectuel conduit les bien-pensants à sortir immédiatement la gousse d’ail et le crucifix. Un QI élevé est pourtant la principale défense dans le monde qui vient (…)
Il est illusoire, voire délirant, de penser que les Français auront un avantage dans la compétition mondiale avec des capacités intellectuelles inférieures aux Asiatiques”

Laurent Alexandre explique que le haut Q.I des est-asiatiques fut un élément déterminant dans ce qui a été appelé à posteriori le “miracle économique coréen”, le “miracle économique chinois” ou le “miracle économique japonais”. Rien d’étonnant pourtant, car l’intelligence moyenne d’une population est l’élément essentiel du niveau de prospérité: le Q.I moyen national corrèle à +0.85 avec l’indice de développement humain.

Le docteur Alexandre ne précise pas que la haute intelligence des est-asiatiques est avant tout génétique; Ces populations ont -comparativement aux européens- une plus haute fréquence d’allèles pour une haute intelligence; un cerveau plus volumineux; un temps de réaction plus rapide.

En réalité ce n’est pas tant le “tabou du Q.I” que celui des différences raciales. Les différences d’intelligence entre populations contreviennent frontalement à l’idéologie égalitariste dominante. Comme le disait le prix Nobel de médecine James Watson dans son dernier ouvrage (2008) “la volonté égalitaire de répartir le pouvoir intellectuel de façon égale entre les populations n’est pas suffisante pour qu’il en soit ainsi”.

Tableau ci-dessous pointant les principales différences (notamment cérébrales et intellectuelles) entre Africains, Européens et Est-Asiatiques.
Extrait de « Rushton’s contributions to the study of mental ability », Arthur R. Jensen, Personality and Individual Differences, 2012

Steven Pinker dénonce la censure des différences raciales…

Steven Pinker, professeur de psychologie à Harvard, ashkénaze, démocrate, qui a déjà fait plusieurs conférences sur les différences raciales notamment d’intelligence, considère que “gravitent autours de l’Alt-right (la droite racialiste américaine, qui a soutenu Trump et s’oppose à l’immigration hispanique à bas Q.I) des gens intelligents, éduqués scientifiquement et perspicaces sur les mensonges médiatiques”. Il poursuit “Des personnes très éduquées et intelligentes peuvent avoir un sévère contrecoup quand elles réalisent que les académies et les médias leur ont menti durant leur vie entière” (vraisemblablement: sur les variations raciales).

“Il n’est plus possible d’ignorer les différences génétiques entre les races”

Dans un article du New-York Times de mars 2018 qui fait grand bruit, David Reich, professeur de génétique à Harvard, explique…

« On peut être préoccupé par une éventuelle mauvaise utilisation des données pour justifier le racisme, mais en temps que généticien je sais aussi qu’il n’est simplement plus possible d’ignorer les différences génétiques moyennes entre les races.

Des avancées révolutionnaires dans la technologie de séquençage d’ADN ont été faites au cours des deux dernières décennies. Ces progrès nous permettent de mesurer avec une précision parfaite quelle fraction de l’ascendance génétique d’un individu remonte, par exemple, d’Afrique de l’Ouest. Avec l’aide de ces outils, nous apprenons que, bien que la race puisse être une construction sociale, les différences d’ascendance génétique qui sont corrélées à de nombreuses constructions raciales actuelles sont bien réelles.

Des gens bien intentionnés qui nient la possibilité de différences biologiques substantielles entre les populations humaines se recroquevillent dans une position indéfendable, qui ne survivra pas à l’assaut de la science.

Alors que la plupart des gens conviennent qu’il est important de trouver les explications génétiques de certaines maladies, ils réchignent lorsqu’il s’agit d’influence génétiques sur le comportement et la cognition.

Est-ce que le Q.I, l’intelligence ou le nombre d’années d’éducation est influencé par l’éducation ? Bien sûr. Mais est-ce que cela mesure également des caractéritiques cognitives et comportementales ? Presque certainement. Et comme tous les caractères influencés par la génétique différent d’une population à l’autre (les fréquences des variations génétiques étant rarement identiques d’une population à l’autre), les influences génétiques sur le comportement et la cognition varieront également d’une population à l’autre.

Vous entendrez parfois que les différences biologiques entre les populations sont petites, parce que les humains ont divergé trop récemment des ancêtres communs pour que des différences substantielles soient apparues sous la pression de la sélection naturelle. Ce n’est pas vrai. Les ancêtres des Asiatiques de l’Est, des Européens, des Africains et des Australiens étaient, jusqu’à récemment, presque complètement isolés les uns des autres pendant 40 000 ans ou plus, ce qui est amplement suffisant pour que les forces de l’évolution puissent fonctionner.

Dans les années à venir les études génétiques montreront que de nombreux caractères sont influencés par des variations génétiques, et que ces traits différent en moyenne entre les populations humaines. Il sera impossible – en effet, anti-scientifique, idiot et absurde – de nier ces différences »

David Reich, Université d’Harvard, mars 2018.

Q.I moyen par prénom au Danemark

Les Q.I moyens par prénom ont été obtenus pour le Danemark par E.W. Kirkegaard à partir des résultats aux tests cognitifs de l’armée.

“First names, cognitive ability and social status in Denmark” E.O.W. Kirkegaard & T.L. Madsen

Dans ce pays comme dans le restant de l’Europe, on peut noter le bas Q.I  obtenu par les maghrébins, aux alentours de 80-85.

“Réflexions sur soixante-huit ans de recherche sur la race et l’intelligence”

Richard Lynn, qui a aujourd’hui 89 ans, retrace l’histoire de sa vie et de ses différentes découvertes, notamment le haut QI des est-asiatiques, la sélection par le froid ou les différences nationales d’intelligence. Ces découvertes ont été diabolisées et viscéralement attaquées avant d’être finalement largement acceptées par la communauté scientifique.

-> La traduction française sur le site douance.org

-> La publication originale “Reflections on Sixty-Eight Years of Research on Race and Intelligence” Psych 2019, 1, 9.