Les Européens et les Est-Asiatiques ont une plus haute fréquence de gènes augmentant l’efficacité cérébrale

La dernière étude de Davide Piffer confirme que la fréquence raciale des allèles augmentant l’intelligence suit le QI moyen des populations… en d’autres termes les races ou populations à plus haut QI moyen (Européens, Est-asiatiques, Ashkénazes) ont une plus haute fréquence d’allèles augmentant l’intelligence dans leur patrimoine génétique que les populations afro-maghrébines. Ces résultats sont parmi les plus importants de ces dernières années. Il est pour ainsi dire désormais impossible de nier la composante génétique des différences raciales d’intelligence générale.

“The results were replicated in a new dataset (gnomAD), comprising a much larger sample of individuals, where the correlation between population IQ and PGS was 0.98 (Table 5 and Figure 9). This dataset included a sample of 145 Ashkenazi Jewish individuals. The IQ of Ashkenazi Jews has been estimated to be around 110 [34]. Remarkably, their EDU polygenic score was the highest in our sample, corresponding to a predicted score of about 108, mirroring preliminary results from a smaller (N = 53) sample (Dunkel et al., 2019)”

Ces gènes sont impliqués principalement (Nature, 2019) dans

-Neurogenèse : génération de neurones à partir de cellules souches neuronales
-Gènes exprimés dans la synapse (rôle dans la plasticité synaptique)
-Gènes impliqués dans le développement du système nerveux
-Gènes impliqués dans la projection et la différentiation neuronale
-Gènes impliqués dans la différentiation des oligodendrocytes (myélinisation du système nerveux central)

Comment définir l’intelligence humaine ?

L’intelligence humaine est une composante de l’intelligence animale. Le cerveau plus volumineux d’homo sapiens (ramené à la taille de son corps) lui permet de générer une intelligence à l’apex de l’intelligence animale.

Des dizaines de milliers de gènes sont impliqués dans les variations d’intelligence entre les humains. Comme tous les traits polygéniques, l’intelligence se répartit en gaussienne.
Ces milliers de gènes ont généralement des effets que l’on dit « pléïotropiques »: ils agissent sur de très nombreux systèmes et dans de nombreux organes différents. La conséquence de cette pléiotropie est que l’intelligence varie de façon relativement homogène: les individus les plus doués en math le seront, en moyenne, également en français, en musique, en science… c’est le concept d’intelligence générale (g) quantifié éventuellement en point de QI. A l’inverse les individus qui accusent un retard mental sont atteints à tous les niveaux ; L’intelligence est une efficience relativement unitaire.

Les gènes impliqués dans l’intelligence agissent à de très nombreux niveaux du cerveau de sorte que les versions alléliques désavantageuses vont altérer l’intelligence dans son ensemble tandis que des versions alléliques avantageuses vont tirer vers le haut l’ensemble des aptitudes.

NB : Il est à noter que cette pléiotropie ne se limite pas à l’aspect intellectuel ! Les gènes qui modulent l’intelligence agissent sur de très nombreux systèmes, augmentant par exemple la longévité (les personnes plus intelligentes vivent plus longtemps car ce sont les mêmes gènes qui régulent l’intelligence et l’espérance de vie). Ils agissent également sur de nombreux traits psychiatriques (les allèles augmentant l’intelligence générale réduisent les prédispositions aux psychoses mais augmentent certains traits autistiques).

Revenons à l’intelligence.

Si à 12 ans vous jouez avec votre petit frère de 6 ans à n’importe quel jeu qui n’implique pas entièrement du hasard, vous aurez tendance à gagner de façon systématique (indistinctement à tous les jeux).

Pourquoi ?
Simplement parce qu’à 12 ans le cerveau a une intelligence générale, une efficience, supérieure à celle d’un cerveau de 6 ans. L’ensemble des flux sensoriels vers le cortex sont plus rapides. Le traitement de l’information visuelle, auditive, sensitive est plus rapide. Les quantités d’informations captées dans l’environnement sont plus importante.

De la même façon que le cerveau d’un enfant de 12 ans est physiologiquement plus efficient que le cerveau d’un enfant de 6 ans, celui d’un QI de 130 sera beaucoup plus efficient que le cerveau d’un QI de 100 : les flux d’informations vers le cortex sont plus rapides, lui permettant de capter davantage d’informations de son environnement par unité de temps. Ces informations sensorielles quantitativement plus importantes chez un haut QI seront ensuite traitées de façon plus efficace par des neurones plus volumineux, mieux structurés et pourvus de davantage de dendrites. L’information quantitativement plus importante se transforme ainsi en une information qualitativement supérieure, qui peut ensuite être stockée de façon plus efficace chez un haut QI (la mémoire est proportionnelle au QI).

Il faut bien comprendre que la captation passive de l’information est proportionnelle au QI. Un haut QI aura un débit visuel, auditif et globalement sensoriel plus important.

Comment définir l’intelligence humaine ?

C’est un niveau d’efficience générale du cerveau, dicté par des dizaines de milliers de gènes aux effets pléïotropiques. Le caractère polygénique de l’intelligence explique sa répartition en gaussienne et la pléiotropie des gènes impliqués explique l’émergence d’une efficience générale dans l’ensemble des facultés mentales: l’intelligence générale (g) mesurée éventuellement en points de QI. Le Kelvin ou le Celsius sont des mesures interchangeables de la température, réalité physico-chimique. De la même façon le QI ou le grade d’intelligence ne sont que des gradations interchangeables de l’intelligence générale, réalité physiologique. 

 

“30 ans de recherche sur les différences raciales en termes d’intelligence”.

Pour ceux qui s’intéressent aux différences raciales en termes d’intelligence, ce résumé est très bon.

“30 ans de recherche sur les différences raciales en termes d’intelligence générale”

J. Philippe Rushton, The University of Western Ontario. Arthur R. Jensen, University of California, Berkeley. Psychology, Public Policy, and Law, 2005, Vol. 11, No. 2, 235–294

Détection des gènes de l’intelligence: les chinois investissent massivement.

Les chinois viennent d’investir massivement dans le plus grand projet jamais conçu de détection des gènes responsables de la très haute intelligence. Pour y participer un seul critère… avoir un Q.I au dessus de 160.

Documentaire d’Arte très instructif.

“Il est bien connu que les variations d’intelligence sont principalement provoquées par des variations génétiques… ce sujet est tabou en occident. En Chine, pas du tout”.

 

 

Pour rappel: le courage de James Watson.

James Watson, prix Nobel pour la découverte de la structure en double hélice de l’ADN -un des scientifiques les plus importants du siècle- affirmait en 2007 être “fondamentalement pessimiste pour l’avenir de l’Afrique, car nos politiques d’aide se basent sur l’hypothèse suivant laquelle leur intelligence serait la même que celle des européens, alors qu’il est clairement démontré que ce n’est pas le cas”.

Dans un livre paru l’année suivante (Evitez les gens ennuyeux, James Watson, 2008) il ajoute “Il serait totalement surprenant voire impossible que des populations ayant évolué dans des milieux séparés durant des milliers d’années se retrouvent aujourd’hui avec des génotypes intellectuels semblables. Notre volonté idéologique de distribuer un pouvoir intellectuel identique à tous n’est pas suffisante pour qu’il en soit ainsi”.

Pour ceux qui connaissent la littérature scientifique sur la question, la première de ces affirmations est évidemment scientifiquement éclairée et indéniable. La seconde relève du bon sens scientifique. Ceux qui affirment le contraire sont soit ignorants des principes élémentaires de la biologie de l’évolution,  on un agenda politique pour nier de cette façon l’importance de la race. Ou les deux.

La sélection embryonnaire pour un haut Q.I approche…

“Augmenter l’intelligence par la sélection embryonnaire va permettre d’augmenter le développement économique et de réduire le crime, le chomage et la pauvreté dans la prochaine génération” 

– Brian Wang

Wired a rapporté que le BGI (Institut de génomique de Pékin, le plus grand au monde) s’attend à ce que dans une décennie, ses recherches sur 
les gènes de l’intelligence soient utilisées pour cribler les embryons lors de la fécondation in vitro, permettant d’augmenter le QI des enfants à naître jusqu’à 20 points.

Q.I et myopie: amusante publicité des opticiens Krys.

Les opticiens Krys ont récemment fait un coup de pub en mentionnant sur leur site le lien entre Q.I plus élevé et myopie.

http://www.krys.com/krys-le-mag/psycho/myopie-qi

Pour appuyer leurs propos, ils citent l’étude de Karlsson (2009) publiée dans le Mankind Quarterly.