Le Q.I moyen national prédit les différences de développement depuis 3000 ans…

Les différences raciales en termes d’intelligence générales étant essentiellement génétiques, elles existent depuis des milliers d’années (probablement au moins les 10 mille dernières années).

“National IQs and measures of technological development given by Comin, Easterly and Gong (2010) are presented for 133 nations for the year 1000 BC, for 134 nations for 0 AD, for 120 nations for 1500 AD and for 133 nations for 2000 AD. It is shown that national IQs are significantly correlated with national differences in technological development at 0.42 in 1000 BC, 0.18 in 0 AD, 0.63 in 1500 D, and 0.75 in 2000 AD”.


http://static.wikeo.be/files/7655/1-s20-s0160289612000748-main.pdf?download

Richard Lynn (2012) IQs predict differences in the technological development of nations from 1000 BC through 2000 AD, Intelligence doi:10.1016/j.intell.2012.05.008

“The global bell curve” disponible en pdf !

Dans “The global bell curve. Race I.Q and inequality worlwide”, 2008 (cliquez pour consulter l’ouvrage en pdf), Richard Lynn démontre que quel que soit le pays à travers le monde, la hiérarchie reste rigoureusement identique, avec un ordre dicté par le Q.I moyen racial:

  • 1. Juifs Ashkénazes (110)
  • 2. Asiatiques de l’est (105)
  • 3. Européens (100)
  • 5. Inuits (91)
  • 6. Asiatiques du sud-est (90)
  • 7. Métis caucasiens-africain (81-90)
  • 8. Amérindiens (86)
  • 9. Nord africains et sud asiatiques (84-88)
  • 10. Africains (67-80)
  • 11. Aborigènes d’Australie (62)

Les différences sont bien sur plus marquées entre les races dont le Q.I diffère sensiblement et est plus ténue entre les races d’intelligence proche.

Cette hiérarchie se vérifie immanquablement pour :

  • 1. L’éducation.
  • 2. Les salaires moyens.
  • 3. Le taux de crime et délit (le taux augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
  • 4. Le statut socio-économique.
  • 5. La fécondité (le taux de fécondité augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
  • 6. L’arriération mentale (augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
  • 7. La réussite scolaire.
  • 8. La délinquance juvénile (augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
  • 9. Le pourcentage de mères célibataires (augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
  • 10. Le taux de chômage (augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
  • 11. La réussite au SAT (test d’entré de la plupart des universités américaines)
  • 12. La prévalence de personnes douées.

“Réflexions sur soixante-huit ans de recherche sur la race et l’intelligence”

Richard Lynn, qui a aujourd’hui 89 ans, retrace l’histoire de sa vie et de ses différentes découvertes, notamment le haut QI des est-asiatiques, la sélection par le froid ou les différences nationales d’intelligence. Ces découvertes ont été diabolisées et viscéralement attaquées avant d’être finalement largement acceptées par la communauté scientifique.

-> La traduction française sur le site douance.org

-> La publication originale “Reflections on Sixty-Eight Years of Research on Race and Intelligence” Psych 2019, 1, 9.

Race Differences in Psychopathic Personality, an Evolutionary Analysis

Le grand Richard Lynn, 89 ans, publie “Race Differences in Psychopathic Personality, an Evolutionary Analysis“.

Ce livre montre empiriquement que la fréquence des personnalités psychopathiques est inversement corrélée à l’intelligence au niveau racial.

Les populations au QI plus élevé (Est-Asiatiques ou Européens) ont ainsi une plus faible fréquence de personnalités psychopathiques tandis que les populations moins intelligentes (Africains, Aborigènes d’Australie…) ont une plus haute prévalence de ces personnalités problématiques.

Tableau ci-dessous: QI moyen et fréquence de personnalités psychopatiques (PP) dans différents groupes raciaux comparativement aux Européens (1, par défaut).

Richard Lynn reprend la définition de l’American Psychiatric Association de la “Personalité psychopathique” (ou personnalité antisociale).

11 traits sont repris:

1. Inhabilité à maintenir un comportement de travail conséquent.
2. Incapacité à se conformer aux normes sociales concernant le respect des lois.
3. Irritabilité et agressivité, fréquentes attaques physiques.
4. Inaptitudes répétées à honorer des obligations financières.
5. Inaptitude à planifier le futur. Impulsivité.
6. Absence de considération pour la vérité. Mensonges fréquents.
7. Inconscience concernant sa propre sécurité et celle des autres (par exemple conduite sous l’emprise de drogues ou excès de vitesse récurrents).
8. Inhabilité à se comporter comme un parent responsable.
9. Inhabilité à maintenir une relation monogame plus d’un an.
10. Absence de remord ou de culpabilité.
11. Présence de troubles du comportement dans l’enfance.

Il s’agit d’un cluster de traits qui se retrouvent dans l’ensemble de la population de façon continue. Seuls les cas sévères de ce continuum seront considérés comme des personnalités psychopatiques (ou antisociales).

Comme dans “The Global Bell Curve” (2009) Richard Lynn montre que la hiérarchie raciale dans la prévalence de ces traits psychopathiques reste remarquablement inchangée quel que soit le pays, ceci car les causes de ces variations raciales sont génétiques (tableau ci-dessus).

Lynn propose ensuite une explication évolutive à ces différences et se penche sur l’héritabilité des personnalités psychopathiques et sur les différences raciales dans la fréquence de gènes impliqués dans des comportements problématiques (notamment le gène MAOA augmentant fortement l’agressivité).

Richard Lynn signe un nouvel ouvrage remarquable, comme toujours indispensable pour comprendre le monde.

Richard Lynn (2019) “Race Differences in Psychopathic Personality, an Evolutionary Analysis”.