Censure et violence contre les experts de l’intelligence…

Comme on peut s’en douter pour un sujet si sensible, la recherche sur l’intelligence est émaillée de nombreuses attaques d’individus voyant ces informations comme menaçantes pour leur idéologie égalitaire. Un grand nombre de journalistes, sans trop s’y connaitre, prennent également parti contre les chercheurs qui travaillent sur ces questions. La diabolisation est systématique, généralement associée de diffamations, pressions sociales ou financières voire d’agressions physiques. La censure est directe ou prend la forme d’une auto-censure rendue obligatoire par les pressions sociales, médiatiques ou légales.

1. Censure sur Wikipédia: suppression d’articles entiers

2. Rational-wiki

3. Censure d’études dérangeantes

4. Attaques personnelles, verbales ou physiques

5. Fraudes scientifiques pour contrecarrer les réalités inégalitaires dérangeantes

6. Les médias qui prennent parti, dépeignant souvent une fausse réalité

7. Pression sociale et licenciement.

8. Le système pénal de nombreux pays européens

9. Les expertes de l’intelligence et les gens informés… qui savent mais se protègent de 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8.


1. Censure sur Wikipédia: suppression d’articles entiers

De nombreux articles de Wikipédia se voient supprimer suite à des demandes répétées de groupes de pression. Deux exemple récents et très éloquents permettent de mieux comprendre:  (1) la suppression de l’article “Ashkenazy Jewish Intelligence” qui était en ligne depuis des années. La présence d’un groupe à haut QI (Ashkénazes) sur-performant dans tous les domaines intellectuels, chiffres à l’appui, allait évidemment à l’encontre de l’égalitarisme racial. C’est la raison pour laquelle l’article, pourtant abondamment sourcé par de nombreux journaux scientifiques internationaux, a été tout simplement supprimé. Les éléments démontrant la causalité hautement génétique de l’intelligence ashkénaze (haute fréquence de myopie et tout récemment le plus haut score GWAS d’intelligence…) étaient probablement le plus problématique car il n’était plus possible pour les égalitaristes d’affirmer que ces différences d’intelligence étaient entièrement environnementales. Par ailleurs si certains groupes plus intelligents sur-performent, il est logique de penser que des groupes moins intelligents vont, spontanément, moins bien performer. Ces informations entrant en collision frontale avec l’idéologie antiraciste ont tout simplement été supprimées de Wikipédia.

(2) Un second article qui a subit des pressions considérables est “Human Genetic Clustering” qui a d’ailleurs récemment été renommé ‘Human genetic diversity” (pour éviter le terme clustering!). L’analyse génétique permet en effet facilement de faire émerger des grands clusters de population, ce qu’on appelle communément “race” dans le règne animal. Le problème est justement là: la possibilité de clusteriser, de diviser en groupes génétiques distincts l’espèce homo sapiens est insupportable pour de nombreux idéologues antiraciste.  L’article “Human Races” de Wikipédia est hautement surveillé et il y est affirmé que la subdivision raciale est une “tentative hasardeuse”. Bien sûr en se penchant ensuite sur l’article “Human genetic clustering” n’importe qui pouvait se rendre compte que cela n’avait rien d’hasardeux (une race est simplement un cluster génétique!).

2. Rational-wiki

Un autre angle d’attaque de la psychologie différentielle a été, pour les égalitaristes insatisfaits de Wikipédia, (qui pourtant est complaisant comme on l’a vu ci-dessus) de créer une variante d’encyclopédie en ligne idéologiquement beaucoup plus à gauche, c’est ainsi qu’est né “Rational-Wiki”. Contrairement à son nom, rational wiki est hautement idéologique. Les meilleurs chercheurs du monde sont dépeints comme des “néo-nazis pédophiles”. Le grand Robert Plomin de l’University College London est décrit comme un “pseudo-scientifique”, de même qu’Hans Eysenck, Lynn, Linda Gottfredson et tous les grands noms de la recherche en intelligence ou génétique comportementale. La stratégie “rational wiki” est relativement efficace car un quidam qui se promène sur internet et désire se renseigner par exemple sur Robert Plomin va entrer son nom dans google et l’article rational-wiki, bien positionné dans les moteurs de recherche, peut facilement être confondu avec Wikipédia.

Les chercheurs commencent à prendre conscience du problème “A concerning development is the presence of a number of hamartographic pseudo-biographies (attack pages) hosted on a website called Rationalwiki.org, which by virtue of conflation with Wikipedia.org and undue prominence in search results, have the potential to inflict serious reputational harm upon intelligence researchers”6

3. Censure d’études dérangeantes

Des études problématiques sont parfois tout simplement censurées. Ca a été le cas de plusieurs études de Rushton récemment7 (des études datant pourtant de 2012). Richard Lynn explique également comment le journal de Mensa International lui a finalement refuser une page de présentation sur son ouvrage “Race Differences in Intelligence, an Evolutionary Analyse”5   (Richard Lynn qui a pourtant gagné 3 années les US mensa awards pour son travail sur l’intelligence ! Il ne s’agissait pas d’une désapprobation de son travail par Mensa mais plutôt d’une auto-censure pour éviter les réactions négatives).

4. Attaques personnelles, verbales ou physiques

Quand on veut battre un chien, on trouve toujours un bâton. La méthode la plus simple pour invalider des études problématiques reste de s’en prendre à leurs auteurs pour décrédibiliser le message. C’est ce que fait rational-wiki tout comme un grand nombre de personnes qui ne supportent pas ces réalités différentielles. Le journal “Mankind Quarterly” qui publie de nombreuses études sur les différences raciales est ainsi l’objet d’attaques particulièrement virulentes, mais les journaux Intelligence ou Personality and Individual Differences ont également été attaqués.

Noah Carl et Michael Woodley ont fait une compilation6 des attaques subies par les chercheurs en intelligence. Comme on peut le voir Arthur Jensen, le prix Nobel William Shokley et Hans Eysenck ont été les plus fréquemment visés.

 

, QI et Intelligence Humaine

Dénonciation, suspension, pétitions, protestations, menaces, attaques physiques et verbales… l’étude de l’intelligence et des différences raciales suscitent chez certains une grande animosité.

, QI et Intelligence Humaine


5. Fraudes scientifiques pour contrecarrer les réalités inégalitaires dérangeantes

Nyborg décrit de façon exhaustive les fraudes massives disséminées parfois jusque dans de grands journaux pour tenter d’invalider les réalités différentielles dérangeantes. Une excellente publication à lire pour comprendre la corruption idéologique qui règne aujourd’hui en anthropologie et dans plusieurs autres disciplines.

The Greatest Collective Scientific Fraud of the 20th Century: The Demolition of Differential Psychology and Eugenics” 2011.

“The first draws inspiration from the academic left (AL), whose members believe that evolution can work without genetically based individual differences, and from religious people, who are burdened by an internally consistent ideological edifice and are guided primarily by moral indignation. Its growing aversion can be understood in terms of the first inverse principle of DP (differential psychology) and E (eugenism) demolition:

The more feeling moralists and the religiously disposed become offended, the first by evidence of individual genetic restrictions, the second by evolutionary principles, the more they will actively oppose DP and E research.

The second group of critics is a highly mixed group of professional, semi-professional, interested laypeople, feminists, and political ideologues, all united by the idea of equality – the belief that people are in principle genetically and/or phenotypically equal. Their problem is not so much moral or religious indignation, but rather the stubborn phenotypic existence of inequality in society of educational and occupational outcomes. They wish to eliminate current individual differences in educational and occupational areas, as they see them as a result of unfair discrimination.

They find the currently increasing economical, political or global inequality unacceptable, and want to bring it under societal and political control in order to eliminate it. They have no particular problem with the production of solid DP documentation for large individual and group differences, as they take it as a useful reminder of much needed, radical, and long-overdue societal changes and feel completely justified in demanding equal access and outcome for all in all areas of society. They even systematize some of the archival evidence on the differences, themselves. They
warmly support international harmonization and globalization programs, and recruit AL (academic liberal) sympathizers who believe in an ideal society where the right culture makes the right citizen, such as in the former Soviet Union. They actively support future social scientists who are not prepared to accept an unequal world “as is” and who seek quick fixes for changing the world to a much better “should be” place. They wholeheartedly support equality programs in progressive universities and trade unions, and demand politically predefined racial- and sexual quota systems. Many of the academics and publicists in this group make their careers by telling well-intentioned, honest, but poorly informed people what they want to hear. It is food for thought that early eugenicists promoted equality of opportunity (e.g. Crew, Darlington, Haldane, et al. (1939), but that their method to achieve equality of outcomes, namely a reduction in the prevalence of harmful genes, is completely beyond the planning horizon of today’s opportunistic social engineers.

The aversion of this group of critics can be characterized by the second inverse principle of DP and E demolition:

The more the pragmatic-opportunistic critics produce or become exposed to evidence of genetic and evolutionary restrictions on educational, occupational, sexual, racial and global equality, the more they will attack notions of restriction, typically in form of ad hominem attacks rarely used by supporters of genetic causes for individualdifferences.

The widely scattered literature finally indicated that “feeling moralists”, “the religiously disposed” and “pragmatic opportunists” are equally prepared to use scientifically unacceptable tools to up-scale their deliberate destruction of DP and E. This observation led to an overall characterization of the phenotypic nature of the demolition: The demise of DP and E is the end product of a slowly progressing multi-faceted, comprehensive, collective, morally or opportunistically based scientific educational, religious and political fraud. The intensity of the demolition appears to increase exponentially to the extent scientific evidence favoring biological restrictions builds up. The scientific findings cause defensiveness and aggressiveness in the protagonists of unscientific ideologies in the same way that criticism causes defensiveness and aggressiveness in an incompetent employee or politician.

This is a brief description of the greatest scientific collective fraud of the 20th century. Others have called attention to the problem at regular intervals (e.g. Garrett, 1961; Eysenck, 1971; Rushton, 1995; Gottfredson, 1994, 2000; Nyborg, 2003), but without much of an effect. It may seem grossly unfair to some in times where so many “good” scientists strive so hard to remedy the consequences of unfair individual and group difference, so I will use some space to justify the accusation in the following sections. First I briefly describe a variety of the unworthy attacks made by moralist and pragmatic opportunists, and then sketch some types of scientifically unacceptable tools and tricks they use (for details, see Jensen, 1972; Nyborg, 2003).


6. Les médias qui prennent parti, dépeignant souvent une fausse réalité

Les études montrent que 90 à 95% des journalistes sont de gauche. Beaucoup placent l’égalité comme prioritaire sur la véracité scientifique et de toute façon ils ne connaissent en général pas la littérature scientifique spécialisée. Hans Eysenck déjà il y a 50 ans (!) dénonçait des médias “qui créent des polémiques artificielles, qui prétendent que la question est débattue alors qu’elle est résolue…”. Les études d’opinion des experts de l’intelligence (individus ayant publié à plusieurs reprises sur le sujet dans des journaux scientifiques à comité de lecture) montrent qu’une “large majorité considère que le traitement médiatique et le débat public sur ces questions sont très inadéquats” et ils sont également majoritaires à être “très sceptiques sur la fiabilité des médias sur ces sujets et sur le fait qu’ils ne soient dignes de confiance ” (medias not trustworthy).


7. Pression sociale et licenciement

Des groupes d’étudiants qui font pression pour demander le licenciement d’un professeur, des pétitions pour interdire la publication d’une étude (relayées par les médias !), des pressions pour exclure des étudiants qui traiteraient de ces sujets de façon “incorrect”… ce sont autant de difficultés qu’ont connu de nombreux chercheurs dans le domaine de l’intelligence.

8. Le système pénale de nombreux pays européens

Des lois répriment aujourd’hui l’expression des propos “racistes”. Les études sur les différences raciales tombent éventuellement sous ce qualificatif puisque, par définition, elles se penchent sur les différences entre les races. Un citoyen qui désirerait mettre en garde contre l’immigration à bas QI d’Afrique, études à l’appui, se verrait ainsi possiblement condamné. Aux USA le 1er amendement protège encore la liberté d’expression… mais des firmes privées n’hésitent pas à sanctionner les individus qui n’expriment pas une opinion convenue. Google a par exemple licencié un de ses dirigeants qui avait énoncé que “la sous-représentation des femmes dans les STEM était en partie due à des différences innées”. Le prix Nobel James Watson a été persécuté (en large part par les médias) pour ses propos sur les différences de QI entre les Africains et les Européens. Le prix Nobel William Shokley également.

9. Les experts de l’intelligence et les gens informés… qui savent mais se protègent de 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8.

Lorsqu’on se penche sur la littérature spécialisée, soigneusement capitonnée pour éviter qu’elle ne fasse d’écho, on s’aperçoit avec éventuellement une immense surprise des données disponibles, des arguments taillés dans le roc, des manipulations d’informations…

Stephen Pinker, professeur de psychologie à Harvard, dénonçait il y a peu la censure de ces informations. “Des individus très éduqués peuvent avoir un sévère contrecoup lorsqu’ils s’aperçoivent qu’on leur a menti des années, durant tout leur cursus éventuellement, sur les différences raciales”.

Les enquêtes d’opinions montrent que plus de 90% des experts de l’intelligence (individus ayant publié à plusieurs reprises sur le sujet dans des revues à comité de lecture) considèrent que “les gènes sont au moins partiellement responsables des variations d’intelligence entre les populations”.

Références

1. “Taboo genetics” Nature, 2013. “Survey of expert opinion on intelligence: Intelligence research, experts’ background, controversial issues, and the media” Intelligence, 2020.
2. “Should Research on Race and IQ Be Banned?” Scientific American, 2013
3. “Dodging Darwin: Race, evolution, and the hereditarian hypothesis” Personality and individual differences, 2020
4. “James Watson’s most inconvenient truth: Race realism and the moralistic fallacy” 2008
5. “Reflections on Sixty-Eight Years of Research on Race and Intelligence“2019
6. “A scientometric analysis of controversies in the field of intelligence research” Intelligence, 2019
7. RETRACTED: Do pigmentation and the melanocortin system modulate aggression and sexuality in humans as they do in other animals?
8. “The Greatest Collective Scientific Fraud of the 20th Century: The Demolition of Differential Psychology and Eugenics” 2011.

Les Européens et les Est-Asiatiques ont une plus haute fréquence de gènes augmentant l’efficacité cérébrale

La dernière étude de Davide Piffer confirme que la fréquence raciale des allèles augmentant l’intelligence suit le QI moyen des populations… en d’autres termes les races ou populations à plus haut QI moyen (Européens, Est-asiatiques, Ashkénazes) ont une plus haute fréquence d’allèles augmentant l’intelligence dans leur patrimoine génétique que les populations afro-maghrébines. Ces résultats sont parmi les plus importants de ces dernières années. Il est pour ainsi dire désormais impossible de nier la composante génétique des différences raciales d’intelligence générale.

“The results were replicated in a new dataset (gnomAD), comprising a much larger sample of individuals, where the correlation between population IQ and PGS was 0.98 (Table 5 and Figure 9). This dataset included a sample of 145 Ashkenazi Jewish individuals. The IQ of Ashkenazi Jews has been estimated to be around 110 [34]. Remarkably, their EDU polygenic score was the highest in our sample, corresponding to a predicted score of about 108, mirroring preliminary results from a smaller (N = 53) sample (Dunkel et al., 2019)”

Ces gènes sont impliqués principalement (Nature, 2019) dans

-Neurogenèse : génération de neurones à partir de cellules souches neuronales
-Gènes exprimés dans la synapse (rôle dans la plasticité synaptique)
-Gènes impliqués dans le développement du système nerveux
-Gènes impliqués dans la projection et la différentiation neuronale
-Gènes impliqués dans la différentiation des oligodendrocytes (myélinisation du système nerveux central)

Comment définir l’intelligence humaine ?

L’intelligence humaine est une composante de l’intelligence animale. Le cerveau plus volumineux d’homo sapiens (ramené à la taille de son corps) lui permet de générer une intelligence à l’apex de l’intelligence animale.

Des dizaines de milliers de gènes sont impliqués dans les variations d’intelligence entre les humains. Comme tous les traits polygéniques, l’intelligence se répartit en gaussienne.
Ces milliers de gènes ont généralement des effets que l’on dit « pléïotropiques »: ils agissent sur de très nombreux systèmes et dans de nombreux organes différents. La conséquence de cette pléiotropie est que l’intelligence varie de façon relativement homogène: les individus les plus doués en math le seront, en moyenne, également en français, en musique, en science… c’est le concept d’intelligence générale (g) quantifié éventuellement en point de QI. A l’inverse les individus qui accusent un retard mental sont atteints à tous les niveaux ; L’intelligence est une efficience relativement unitaire.

Les gènes impliqués dans l’intelligence agissent à de très nombreux niveaux du cerveau de sorte que les versions alléliques désavantageuses vont altérer l’intelligence dans son ensemble tandis que des versions alléliques avantageuses vont tirer vers le haut l’ensemble des aptitudes.

NB : Il est à noter que cette pléiotropie ne se limite pas à l’aspect intellectuel ! Les gènes qui modulent l’intelligence agissent sur de très nombreux systèmes, augmentant par exemple la longévité (les personnes plus intelligentes vivent plus longtemps car ce sont les mêmes gènes qui régulent l’intelligence et l’espérance de vie). Ils agissent également sur de nombreux traits psychiatriques (les allèles augmentant l’intelligence générale réduisent les prédispositions aux psychoses mais augmentent certains traits autistiques).

Revenons à l’intelligence.

Si à 12 ans vous jouez avec votre petit frère de 6 ans à n’importe quel jeu qui n’implique pas entièrement du hasard, vous aurez tendance à gagner de façon systématique (indistinctement à tous les jeux).

Pourquoi ?
Simplement parce qu’à 12 ans le cerveau a une intelligence générale, une efficience, supérieure à celle d’un cerveau de 6 ans. L’ensemble des flux sensoriels vers le cortex sont plus rapides. Le traitement de l’information visuelle, auditive, sensitive est plus rapide. Les quantités d’informations captées dans l’environnement sont plus importante.

De la même façon que le cerveau d’un enfant de 12 ans est physiologiquement plus efficient que le cerveau d’un enfant de 6 ans, celui d’un QI de 130 sera beaucoup plus efficient que le cerveau d’un QI de 100 : les flux d’informations vers le cortex sont plus rapides, lui permettant de capter davantage d’informations de son environnement par unité de temps. Ces informations sensorielles quantitativement plus importantes chez un haut QI seront ensuite traitées de façon plus efficace par des neurones plus volumineux, mieux structurés et pourvus de davantage de dendrites. L’information quantitativement plus importante se transforme ainsi en une information qualitativement supérieure, qui peut ensuite être stockée de façon plus efficace chez un haut QI (la mémoire est proportionnelle au QI).

Il faut bien comprendre que la captation passive de l’information est proportionnelle au QI. Un haut QI aura un débit visuel, auditif et globalement sensoriel plus important.

Comment définir l’intelligence humaine ?

C’est un niveau d’efficience générale du cerveau, dicté par des dizaines de milliers de gènes aux effets pléïotropiques. Le caractère polygénique de l’intelligence explique sa répartition en gaussienne et la pléiotropie des gènes impliqués explique l’émergence d’une efficience générale dans l’ensemble des facultés mentales: l’intelligence générale (g) mesurée éventuellement en points de QI. Le Kelvin ou le Celsius sont des mesures interchangeables de la température, réalité physico-chimique. De la même façon le QI ou le grade d’intelligence ne sont que des gradations interchangeables de l’intelligence générale, réalité physiologique. 

 

Classement des races de chats par intelligence…

Selon le classement réalisé par Animal Planet, la race de chat la plus intelligente serait… les sphynx.

Le Sphynx, ce chat hyper affectueux et «sans poils» (le chat a en fait un léger duvet) est le seul chat à recevoir la note maximale du classement.

Seconds sur le podium, viennent ensuite…

-Les Balinais (Siamois à poils longs)
-Bengal
-Javanais
-Oriental
-Siamois

Vos likes facebook en disent long sur votre QI…

Une étude de M. Kosinski (2014) a montré l’existence de liens significatifs entre QI et certains likes facebook.

“Les résultats montrent qu’il y a des liens significatifs entre comportement en ligne et personnalité, intelligence et d’autres traits. En explorant ces liens, il est possible de prédire avec précision les profils psycho-démographiques individuels”

A gauche, les likes facebook les plus fortement corrélés à un haut QI. A droite à l’inverse, les likes corrélés à une faible intelligence…

“Measurement and prediction of individual and group differences in the digital environment”, Kosinski M.(2014)

Le Q.I moyen national prédit les différences de développement depuis 3000 ans…

Les différences raciales en termes d’intelligence générales étant essentiellement génétiques, elles existent depuis des milliers d’années (probablement au moins les 10 mille dernières années).

“National IQs and measures of technological development given by Comin, Easterly and Gong (2010) are presented for 133 nations for the year 1000 BC, for 134 nations for 0 AD, for 120 nations for 1500 AD and for 133 nations for 2000 AD. It is shown that national IQs are significantly correlated with national differences in technological development at 0.42 in 1000 BC, 0.18 in 0 AD, 0.63 in 1500 D, and 0.75 in 2000 AD”.


http://static.wikeo.be/files/7655/1-s20-s0160289612000748-main.pdf?download

Richard Lynn (2012) IQs predict differences in the technological development of nations from 1000 BC through 2000 AD, Intelligence doi:10.1016/j.intell.2012.05.008

Interview d’Arthur Jensen par Christopher Langan.

Christopher Langan a été évalué à 200 de Q.I et est souvent appelé “the smartest man of America” par les médias.    http://en.wikipedia.org/wiki/Christopher_Langan

Arthur Jensen, décédé il y a un an, est un des plus grands experts en matière d’intelligence, auteur du célèbre et très complet “The g factor” (1998).

A consulter pour mieux comprendre ce qu’est l’intelligence, cette excellente interview…

Dialogue Arthur Jensen – Christopher Langan Méga Fundation

“30 ans de recherche sur les différences raciales en termes d’intelligence”.

Pour ceux qui s’intéressent aux différences raciales en termes d’intelligence, ce résumé est très bon.

“30 ans de recherche sur les différences raciales en termes d’intelligence générale”

J. Philippe Rushton, The University of Western Ontario. Arthur R. Jensen, University of California, Berkeley. Psychology, Public Policy, and Law, 2005, Vol. 11, No. 2, 235–294